WHISPER OF A SHADOW

MUSICAL CONVERSATIONS WITH LOUIS MOREAU GOTTSCHALK

Whisper of a Shadow Opus 1 est le premier d’une série d’albums, l’aboutissement de l’exploration musicale du compositeur et trompettiste Yohan Giaume revisitant les liens musicaux entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique. S’inspirant du voyage du compositeur et pianiste romantique louisianais Louis Moreau Gottschalk, l’album est construit comme une conversation imaginée entre deux compositeurs – Gottschalk, un louisianais d’origine créole et le français Y. Giaume – représentant deux époques et deux cultures différentes, celles de La Nouvelle-Orléans et la France.

 

Whisper of a Shadow Opus 1 est le premier d’une série d’albums, l’aboutissement de l’exploration musicale du compositeur et trompettiste Yohan Giaume revisitant les liens musicaux entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique. S’inspirant du voyage du compositeur et pianiste romantique louisianais Louis Moreau Gottschalk, l’album est construit comme une conversation imaginée entre deux compositeurs – Gottschalk, un louisianais d’origine créole et le français Y. Giaume – représentant deux époques et deux cultures différentes, celles de La Nouvelle-Orléans et la France.

Dans le premier opus de Whisper of a Shadow, Y. Giaume rend un hommage à la Nouvelle-Orléans, ville natale de Gottschalk et tout particulièrement à la culture afro-américaine. Loin des clichés habituels de la musique de cette ville, les onze titres du premier album font écho à l’environnement multiculturel incroyablement riche de La Nouvelle-Orléans au XIXe siècle à travers des compositions et arrangements originaux. La musique de Giaume cherche à interagir avec les sources d’inspiration de Gottschalk de manière contemporaine. Elle se tisse comme un récit de voyage musical multi-genres où résonnent des airs d’opéra, des mélodies afro-créoles, des tempos gospel, de la poésie romantique, des rythmes de la célèbre place Congo Square, une marche funèbre et plus encore.

Dans le premier opus de Whisper of a Shadow, Y. Giaume rend un hommage à la Nouvelle-Orléans, ville natale de Gottschalk et tout particulièrement à la culture afro-américaine. Loin des clichés habituels de la musique de cette ville, les onze titres du premier album font écho à l’environnement multiculturel incroyablement riche de La Nouvelle-Orléans au XIXe siècle à travers des compositions et arrangements originaux. La musique de Giaume cherche à interagir avec les sources d’inspiration de Gottschalk de manière contemporaine. Elle se tisse comme un récit de voyage musical multi-genres où résonnent des airs d’opéra, des mélodies afro-créoles, des tempos gospel, de la poésie romantique, des rythmes de la célèbre place Congo Square, une marche funèbre et plus encore.

Pour cette création, Yohan Giaume collabore avec des musiciens renommés des deux côtés de l’Atlantique en mettant à l’honneur le clarinettiste Evan Christopher basé à La Nouvelle-Orléans (qui a également co-dirigé avec Yohan les interprétations des compositions). Parmi les 22 artistes français, américains et caribéens invités figurent le batteur Herlin Riley, le trompettiste Nicholas Payton, le bassiste Roland Guerin, le pianiste Aaron Diehl et un quatuor à cordes français. D’autres invités comme le poète new orléanais Chuck Perkins, des percussionnistes et chanteurs caribéens et des trombonistes et tubistes louisianais se joignent sur plusieurs titres à l’ensemble musical. Enfin l’acteur français Didier Sandre, de la Comédie Française, interprète un poème mis en musique par Y. Giaume dans un morceau en bonus.

Whisper of a Shadow a pris naissance au cours du long voyage de Y. Giaume à travers le monde qu’il débute il y a une quinzaine d’années lorsqu’il s’immerge dans différentes cultures, guidé par son amour pour la musique de la diaspora africaine (Cuba, Argentine, Uruguay, Pérou, Maroc, Europe et États-Unis).

Après ses études académiques, Giaume, par ses voyages, ses séjours et ses rencontres, s’est imprégné de différentes traditions musicales en cherchant à se relier au patrimoine ancestral et à comprendre ce qui se cache derrière les notes. «

 

 En explorant ces cultures de l’intérieur, en voyageant dans différents pays à la recherche des racines de la musique, j’ai commencé à découvrir des pièces du puzzle de l’arbre généalogique musical et les liens en rhizome de ces cultures », dit Yohan Giaume. « La musique est comme un arbre, tout est lié, chaque ligne musicale ou rythme que vous jouez est l’ombre de quelque chose qui vient de quelque part et il est fascinant de voir comment le patrimoine culturel continue d’exister après des siècles de transformations et de déplacements géographiques. De toute évidence, cela montre à quel point la musique est puissante, essentielle dans une société, et à quel point un certain continuum entre le passé et le présent est vital ».

Si Cuba et l’Amérique du Sud furent ses premières étapes, c’est La Nouvelle-Orléans qui retient le plus son attention lorsqu’il s’y est rendu pour la première fois en 2009 : « J’avais un fort sentiment de reconnaître une partie de moi dans cette culture et cette ville » explique-t-il.

Il y a également fait une découverte inattendue : Louis Moreau Gottschalk, le compositeur et pianiste créole romantique louisianais, avait emprunté à peu près le même chemin dans ses voyages deux siècles auparavant. Le fort attrait de Giaume pour les musiques afro-créoles résonne également avec celui de Gottschalk qui fut l’un des premiers, sinon le premier compositeur américain à embrasser de manière inspirée la musique afro-créole. Dès lors, Y. Giaume eu l’étrange sensation d’être accompagné dans sa quête et d’avoir comme « rendez-vous » avec Gottschalk.

Whisper of a Shadow en résumé est bien plus qu’un album musical. C’est une invitation à ralentir, à prendre du recul par rapport à notre époque, à entrer dans un voyage à travers le temps et l’espace, et à célébrer ce qu’une expérience multiculturelle peut offrir.

« J’ai trouvé mes racines à travers mon voyage dans la culture des autres », dit Giaume.  « Nous avons tous un point commun, même si rien ne le suggère, mais pour le découvrir, il faut sortir de sa propre zone de confort et aller l’explorer ».

Pour cette création, Yohan Giaume collabore avec des musiciens renommés des deux côtés de l’Atlantique en mettant à l’honneur le clarinettiste Evan Christopher basé à La Nouvelle-Orléans (qui a également co-dirigé avec Yohan les interprétations des compositions). Parmi les 22 artistes français, américains et caribéens invités figurent le batteur Herlin Riley, le trompettiste Nicholas Payton, le bassiste Roland Guerin, le pianiste Aaron Diehl et un quatuor à cordes français. D’autres invités comme le poète new orléanais Chuck Perkins, des percussionnistes et chanteurs caribéens et des trombonistes et tubistes louisianais se joignent sur plusieurs titres à l’ensemble musical. Enfin l’acteur français Didier Sandre, de la Comédie Française, interprète un poème mis en musique par Y. Giaume dans un morceau en bonus.

Whisper of a Shadow a pris naissance au cours du long voyage de Y. Giaume à travers le monde qu’il débute il y a une quinzaine d’années lorsqu’il s’immerge dans différentes cultures, guidé par son amour pour la musique de la diaspora africaine (Cuba, Argentine, Uruguay, Pérou, Maroc, Europe et États-Unis).

Après ses études académiques, Giaume, par ses voyages, ses séjours et ses rencontres, s’est imprégné de différentes traditions musicales en cherchant à se relier au patrimoine ancestral et à comprendre ce qui se cache derrière les notes. « En explorant ces cultures de l’intérieur, en voyageant dans différents pays à la recherche des racines de la musique, j’ai commencé à découvrir des pièces du puzzle de l’arbre généalogique musical et les liens en rhizome de ces cultures », dit Yohan Giaume. « La musique est comme un arbre, tout est lié, chaque ligne musicale ou rythme que vous jouez est l’ombre de quelque chose qui vient de quelque part et il est fascinant de voir comment le patrimoine culturel continue d’exister après des siècles de transformations et de déplacements géographiques. De toute évidence, cela montre à quel point la musique est puissante, essentielle dans une société, et à quel point un certain continuum entre le passé et le présent est vital ».

Si Cuba et l’Amérique du Sud furent ses premières étapes, c’est La Nouvelle-Orléans qui retient le plus son attention lorsqu’il s’y est rendu pour la première fois en 2009 : « J’avais un fort sentiment de reconnaître une partie de moi dans cette culture et cette ville » explique-t-il.

Il y a également fait une découverte inattendue : Louis Moreau Gottschalk, le compositeur et pianiste créole romantique louisianais, avait emprunté à peu près le même chemin dans ses voyages deux siècles auparavant. Le fort attrait de Giaume pour les musiques afro-créoles résonne également avec celui de Gottschalk qui fut l’un des premiers, sinon le premier compositeur américain à embrasser de manière inspirée la musique afro-créole. Dès lors, Y. Giaume eu l’étrange sensation d’être accompagné dans sa quête et d’avoir comme « rendez-vous » avec Gottschalk.

Whisper of a Shadow en résumé est bien plus qu’un album musical. C’est une invitation à ralentir, à prendre du recul par rapport à notre époque, à entrer dans un voyage à travers le temps et l’espace, et à célébrer ce qu’une expérience multiculturelle peut offrir.

« J’ai trouvé mes racines à travers mon voyage dans la culture des autres », dit Giaume.  « Nous avons tous un point commun, même si rien ne le suggère, mais pour le découvrir, il faut sortir de sa propre zone de confort et aller l’explorer ».

CREDITS :

Yohan Giaume (Compositions / Arrangements / Direction musicale / Trompette)

Evan Christopher (Clarinette/ co-direction sur l’interprétation)
Aaron Diehl (Piano)
Herlin Riley (Batterie)
Roland Guerin (Contrebasse)
Tristan Liehr (Violon)
Louis-Jean Perreau (Violon)
Emmanuel Francois (Alto)
Thomas Ravez (Violoncelle)

Musiciens additionnels :

Nicholas Payton (Trompette)
Terrance Taplin (Trombone)
Greg Hicks (Trombone)
Matt Perrine (Tuba)
Chuck Perkins (Slam, poèmes, et paroles sur « Life Circle Part II »)
Nell Simmons, Kid Merv, Troy Sawyer, Casme Barnes, James Germain (Choeur)
Philippe Makaïa (Voix lead et Percussions)
Bago Balthazar (Percussions)
Bruce Sunpie Barnes (Paroles sur « Lez African É Là »)

Bonus track: Didier Sandre (voix) (sur « Le poète Mourant » (version poème)

 

Enregistré au studio Esplanade Studio à La Nouvelle-Orléans
par Misha Kachkachishvili assisté de Jesse Snider
Ainsi qu’au studio Sextan à Paris
par Vincent Mahey assisté de Arthur Gouret.

Mixé par Steve Reynolds
Masterisé par Gene Paul et Joel Kerr au studio G&J Audio, Union City, NJ

Production exécutive par Yohan Giaume.

Produit par Life Celebration Project avec le soutien du French-American Jazz Exchange, un programme de la Fondation FACE et du Mid Atlantic Arts Foundation, avec le généreux soutien des Services Culturels de l’Ambassade de France, Doris Duke Charitable Foundation, Florence Gould Foundation, Andrew W.Mellon Foundation, l’Institut Français, Le Ministère de la Culture, La Société des Auteurs et Compositeurs de Musique (SACEM), New Orleans Jazz and Heritage Foundation, La régioon Auvergne-Rhône-Alpes, MNOP, et le soutien des contributeurs lors d’une campagne de financement participatif Kickstarter.